Vous êtes fatiguée de vivre avec cette boule au ventre ?
De vous réveiller la nuit avec des pensées qui tournent en boucles ?
De dépendre de solutions temporaires qui ne traitent pas le problème de votre mal-être ? V
ous connaissez ces moments où l'anxiété prend le contrôle ?
Ces pensées incessantes, cette respiration qui s'accélère, le coeur qui s'emballe, cette sensation d'étouffement qui vous empêche de profiter pleinement de la vie ?
Je vous accompagne pour transformer votre relation à l'anxiété et retrouver une paix intérieure durable, sans dépendre de médicaments et sans vous sentir isolée même si vous avez peur de ne pas être à la hauteur.
Vous allez apprendre à :
Pour répondre à la demande de nombreuses personnes, je propose désormais des séances de Sophrologie en ligne en plus de mes séances en cabinet.
24 Chemin de Maintenue
69650
Saint-Germain-au-Mont-d'Or
L'occasion de découvrir la sophrologie au travers d'ateliers découvertes et thématiques
Tu te réveilles souvent avant même que ton alarme ne sonne, ton esprit déjà en ébullition.
Pendant que d'autres émergent doucement du sommeil, toi, tu as déjà anticipé mille scénarios pour la journée qui commence. Ce n'est pas que tu choisis d'être inquiète – c'est que ton cerveau fonctionne ainsi, toujours en alerte, toujours prêt à te protéger de dangers que lui seul perçoit comme imminents.
Tu ressens cet étau familier dans ta poitrine alors que tu te prépares. Choisir une tenue devient parfois un exercice éprouvant : Est-ce approprié ? Vais-je attirer l'attention ? Serai-je jugée ? Des questions qui semblent futiles aux yeux des autres, mais qui pour toi représentent autant de petites montagnes à gravir avant même d'avoir quitté ta chambre. Tu vérifies trois fois que tu as bien fermé la porte, que ton téléphone est chargé, que tu n'as rien oublié d'important. Non par manie, mais parce que l'incertitude est trop lourde à porter.
Ce n'est pas de la simple prudence – c'est ton anxiété qui te chuchote que la moindre erreur pourrait avoir des conséquences catastrophiques.
Quand tu parles aux autres, une partie de toi est toujours occupée à analyser leurs réactions, à guetter les signes de désapprobation, à ajuster tes paroles pour plaire ou du moins ne pas déplaire.
Tu rentres chez toi et rejoues mentalement tes conversations, identifiant avec précision chirurgicale ce que tu aurais dû dire différemment. Souvent, tu te sens épuisée après des interactions sociales, même celles qui semblent anodines – non pas parce que tu n'aimes pas les gens, mais parce que chaque rencontre demande un effort immense de ta part.
Tu es peut-être cette amie sur qui on peut toujours compter, celle qui anticipe les besoins des autres avant même qu'ils ne les expriment. Cette qualité vient peut-être de ta sensibilité accrue, mais aussi de ton besoin profond d'éviter les conflits qui te terrifient. L'amour est compliqué aussi. Tu te demandes parfois si ton partenaire ne se lassera pas de tes questionnements incessants, de tes besoins de réassurance. Tu voudrais tant pouvoir te détendre et simplement profiter des moments heureux sans que cette voix intérieure ne vienne les gâcher en murmurant "oui, mais..."
Ton corps porte les traces de ce combat invisible.
Ces maux de tête qui surviennent après des journées particulièrement stressantes.
Cette tension dans tes épaules que tu ne remarques même plus tant elle fait partie de toi. Ces nuits où le sommeil te fuit, alors que ton esprit refuse de faire silence.
Tu as peut-être développé des stratégies pour apaiser ces sensations – respirer profondément dans les moments difficiles, te tourner vers le sport ou la méditation. Mais tu sais aussi que parfois, malgré tous tes efforts, ton corps te rappelle à l'ordre, te signalant qu'il porte trop longtemps un poids trop lourd.
Tu n'es pas trop sensible ou compliquée. Tu n'es pas défectueuse. Ton anxiété n'est pas un choix ou un caprice – c'est une expérience réelle et intense qui mérite d'être reconnue et accueillie avec compassion.
Cette capacité que tu as à anticiper, à ressentir profondément, à te préoccuper des autres – elle peut être réorientée et devenir une force extraordinaire quand elle ne te submerge plus. Ton anxiété t'a peut-être rendue plus empathique, plus attentive aux détails, plus consciente des besoins des autres.
Ces qualités sont précieuses. Sache que derrière chaque pensée anxieuse se cache un besoin légitime de sécurité et d'appartenance. Tu mérites de trouver cette paix intérieure que tu recherches tant, celle qui te permettra de vivre pleinement, sans que ton esprit ne soit constamment en alerte.
Le chemin vers l'apaisement existe, même s'il peut sembler obscur aujourd'hui.
Des milliers de femmes comme toi ont retrouvé leur souffle, ont appris à cohabiter différemment avec cette partie d'elles-mêmes. Prends le temps qu'il te faut, avance à ton rythme, et surtout, sois aussi bienveillante envers toi-même que tu l'es envers ceux que tu aimes.
Tu la connais bien, cette sensation qui monte comme une vague soudaine, cette oppression qui étreint ta poitrine sans prévenir. Ce n'est pas une simple inquiétude – c'est une force qui te coupe le souffle, qui te fait sentir comme si le monde autour de toi devenait flou, instable. Dans ces moments, ton cœur s'emballe et tu te demandes s'il ne va pas exploser, tant ses battements résonnent dans tout ton corps.
Tu as peut-être appris à cacher ces tempêtes intérieures derrière un sourire, une excuse pour t'isoler quelques minutes, le temps que la crise passe. J'ai juste besoin d'air, dis-tu, alors qu'en réalité, c'est précisément l'air qui semble te manquer, comme si un étau invisible comprimait tes poumons. Ces crises semblent parfois survenir sans raison apparente – un paradoxe cruel qui ajoute à ta détresse.
Comment expliquer l'inexplicable ? Comment faire comprendre que ton corps réagit à une menace que personne ne peut voir, pas même toi ? Cette imprévisibilité est peut-être l'un des aspects les plus épuisants de ta réalité.
Même quand l'angoisse n'est pas à son comble, tu la sens qui rôde. Tu vis dans l'anticipation de la prochaine crise, développant une hypervigilance qui t'épuise. Tu remarques les moindres changements dans ton corps – un léger vertige, une respiration un peu plus courte – et tu te demandes : Est-ce que ça recommence ? Cette vigilance constante limite parfois tes mouvements dans la vie. Tu as peut-être renoncé à certaines activités, certains lieux, parce qu'ils ont été associés à des crises passées. Tu calcules les itinéraires en fonction des échappatoires possibles, des endroits où tu pourrais te réfugier si l'angoisse revenait.
Chaque sortie devient une expédition minutieusement préparée. Tu t'observes vivre plus que tu ne vis pleinement, comme si une partie de toi était toujours en retrait, prête à intervenir en cas d'urgence. Cette division intérieure est épuisante – être à la fois celle qui vit et celle qui surveille.
Calme-toi, Respire, Ce n'est rien – ces mots bien intentionnés te blessent parfois plus qu'ils ne t'aident. Si seulement c'était si simple. Si seulement tu pouvais simplement décider de ne plus ressentir cette angoisse qui te traverse. Tu t'es peut-être habituée à minimiser ton expérience pour ne pas inquiéter tes proches, pour ne pas être un fardeau.
Tu as développé un talent pour compartimenter, pour fonctionner malgré la tempête intérieure, pour être présente pour les autres même quand tu aurais besoin qu'on soit présent pour toi. La honte s'est peut-être glissée dans ton expérience – honte de ne pas contrôler ces émotions, honte de devoir parfois aménager ta vie autour de cette réalité invisible. Tu te compares aux autres et te demandes pourquoi elles semblent naviguer dans la vie avec tant d'aisance quand chaque jour est pour toi un exercice de courage.
Ton angoisse n';est pas un signe de faiblesse – c'est la preuve que ton corps et ton esprit sont extraordinairement sensibles, réactifs, vivants. Cette sensibilité qui te fait tant souffrir est aussi celle qui te rend profondément humaine, capable d'une empathie et d'une compréhension que d'autres n'atteindront jamais.
Cette lutte invisible que tu mènes chaque jour demande un courage immense que peu de personnes peuvent comprendre. Traverser une crise d'angoisse requiert plus de force que bien des défis visibles que la société célèbre et reconnaît. Tu n'es pas seule dans cette expérience.
Des millions de femmes traversent ces mêmes tempêtes intérieures, ressentent ces mêmes sensations terrifiantes, et pourtant, continuent d'avancer, d'aimer, de créer, de vivre. Il existe des chemins vers l'apaisement.
Des approches thérapeutiques, des techniques corporelles, des espaces de parole où ton expérience sera validée et comprise. L'angoisse qui semble aujourd'hui te définir peut devenir, avec le temps et le bon accompagnement, une simple partie de toi – non plus une tempête dévastatrice mais une météo changeante avec laquelle tu apprendras à danser.
Sois patiente et douce avec toi-même, comme tu le serais avec une amie traversant la même épreuve. Cette bienveillance que tu offres si facilement aux autres, tu la mérites tout autant. Ton corps fait de son mieux pour te protéger, même si ses stratégies sont parfois maladroites.
Honore ce combat, honore ton courage. Chaque respiration en pleine crise est un acte de bravoure dont tu peux être fière.